Charles-Francois Daubigny:
Peintre paysagiste à l’école de Barbizon
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introduction
Charles-François Daubigny était un membre important de la École de peinture de paysage de Barbizon – le groupe de peintres français progressistes qui se sont consacrés à peinture en plein air dans et autour de la forêt de Fontainebleau, près de Paris. Dédié à un style non académique de naturalisme, Daubigny s’est spécialisé dans la création de paysages extrêmement paisibles, semblables à ceux de Camille Corot (1796-1875). Bien que la renommée et la maîtrise de son ami Corot aient largement éclipsé le sien peinture de paysage Pour certains critiques d’art, le travail de Daubigny est tout aussi impressionnant. En outre, Daubigny est réputé pour son utilisation de délicates hachures de couleur pure, dans un style qui anticipait plus tard les impressionnistes comme Monet (1840-1926) et Renoir (1841-1919). En effet, il a exercé une influence notable sur Monet et, de manière moins évidente, sur le jeune Cézanne (1839-1906), et peut donc être considéré comme un pont entre Barbizon et Peinture de paysage impressionniste.
Formation artistique et premiers travaux
Le fils du peintre Edmond-François Daubigny, à qui il acquit les bases de La peinture, il a également étudié avec son oncle, le miniaturiste Pierre Daubigny, le paysagiste Jacques-Raymond Brascassat et le célèbre peintre historique Paul Delaroche (1796-1856). Au début de son adolescence, il commença à copier des œuvres du Grand Louvre par les grands peintres paysagistes néerlandais du 17ème siècle, dont Aelbert Cuyp (1620-91), Jacob Van Ruisdael (1628-82) et Meindert Hobbema (1638-1709), dont le réalisme a eu une grande influence sur ses premiers travaux. Pour augmenter sa gamme, il a également poursuivi un apprentissage de graveur. Fortement attiré par la peinture en plein air, il exerce sa technique à Saint-Cloud et à Clamart, près de Paris, et dans la forêt de Fontainebleau (1834-1835). Il termine sa formation par un voyage en Italie en 1835, puis rentre à Paris en 1836 et travaille dans le département de restauration de la peinture du Persienne. En plus de cela, il gagna de l’argent supplémentaire grâce au illustration de livres et de magazines. En 1839, il expose son premier tableau (saint Jérôme) à la Salon de Paris .
École de Barbizon
Au cours de la décennie suivante, il réalise plusieurs gravures de paysages dont certaines sont regroupées dans des portfolios qui le rendent relativement connu. À la recherche de paysages naturels, il s’est consacré à la visite de différentes régions françaises et au voyage en bateau le long de différentes rivières afin de trouver des sujets intéressants pour ses peintures. En 1843, il s’installa à Barbizon, où – avec d’autres artistes aux vues similaires, comme Theodore Rousseau (1812-1867), Narcisse Diaz de la Pena (1808-1876), Jules Dupre (1811-1889) et plus tard Jean-François Millet (1814-1875) – il se consacre à la peinture en plein air. (Remarque: l’école de Barbizon a été une étape importante dans l’évolution de l’art paysager français, représentant un point médian important entre le romantisme et de Courbet Le réalisme.) En 1848, Daubigny construisit une péniche (Botin) qu’il transforma en un atelier flottant dans lequel il vécut longtemps, peignant les berges des rives de la Seine et de l’Oise et autour d’Auvers. En 1852, il eut deux rencontres très importantes: la première avec Camille Corot (avec qui il devint ami) à Optevoz (Isère); d’autre part avec Gustave Courbet (1819-1877), qui deviendra bientôt le chef autoproclamé de la nouvelle forme de Peinture réaliste En France. Les deux artistes ont exercé une influence importante sur Daubigny.
En 1866, il se rendit à Londres, où il resta jusqu’en 1870. C’est là qu’il rencontra Claude Monet, avec qui il se rendit en Hollande et dans les Alpes, où il peignit un paysage de style impressionniste, qu’il appela simplement La neige. (1873). A son retour en France en 1870, il rencontre le jeune Paul Cezanne. (Remarque: pour en savoir plus sur lui et Monet, voir: Claude Monet et Camille Pissarro à Londres, et aussi Evolution de la peinture impressionniste.)
Peinture de paysage de Daubigny
Les meilleurs tableaux de Daubigny ont été réalisés entre 1857 et 1870. Il s’agit pour la plupart de paysages soigneusement composés avec des arbres, une scène de rivière et un nombre variable de canards. Au moins un critique a fait remarquer que si Daubigny aimait une photo, il en ajoutait un ou deux. Le nombre de canards dans une toile est donc un indicateur approximatif de son mérite artistique.
Bien que la plupart de ses tableaux soient de petits paysages fluviaux, il a également peint des paysages de grande envergure, dont deux au Louvre, à Paris. En général, son travail paysager est paisible et dédié aux études de la lumière et de l’atmosphère. Ses vues de la vallée d’Optevoz, notamment dans les peintures The Sluice-Gate à Optevoz (1859), A River Landscape (1860) et Sunset over the Oise, reflètent son excellent sens de la composition et impressionnent par leur de vastes horizons et le sens profond de la solitude qu’ils transmettent. Comme tous les peintres de Barbizon – c’est-à-dire ceux cités plus haut, ainsi que Joseph Harpignies, Constant Troyon, Charles-Émile Jacque et Antoine-Louis Barye – il cherchait constamment à saisir le sentiment et l’atmosphère de la campagne, en accordant une attention particulière réplication de la lumière et Couleur. Mais c’est son coup de pinceau impressionniste, allié à son habitude de finir sur le motif, qui le distingue des autres artistes de Barbizon et qui explique son influence sur la jeune génération de Peintres impressionnistes comme Monet, Renoir et Pissarro.
Daubigny est mort à Paris à l’âge de 61 ans. Sur son lit de mort, il aurait déclaré: "Au revoir. Je vais au paradis pour voir si l’ami Corot m’a trouvé des sujets de paysages." Légion d’honneur décernée par le gouvernement français pour services rendus à Peinture française Parmi ses partisans, il y avait notamment son fils Karl Daubigny – dont la capacité de reproduire le style de son père a conduit à confondre un certain nombre d’œuvres avec celles de son père – ainsi qu’Achille François Oudinot (1820-1891), Hippolyte Camille Delpy (1842-1910).), Albert Charpin, (1842-1924) et Pierre Emmanuel Damoye (1847-1916).
Peintures de Charles-François Daubigny
En exposition dans certaines des régions du monde meilleurs musées d’art, Les œuvres de Daubigny comprennent un certain nombre de peintures de paysages célèbres, comprenant:
La Seine à Mantes (1850) Brooklyn Museum, New York.
Étang aux hérons (1857), musée du Louvre, Paris.
Printemps (1857) du Louvre.
Le portail de Optevoz (1859) au Louvre.
Les Barges (1865) du Louvre.
Rive du fleuve (1866) The Hermitage, Saint-Pétersbourg.
Bord de mer à Villerville (1875) L’Ermitage.
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