Ilya Udalov. Automne argenté du vieux Peterhof Automatique traduire

L’automne arrive bientôt, tout va changer dans la région.
Joseph Brodsky

Quatorze pages lyriques du journal photo d’Ilya Udalov. Le feuillage de l’ancien parc et les briques des ruines gardent la composition fragile du jour qui passe. Ces lettres de carte postale parlent de ce qui reste dans les coulisses.

À propos du fait qu ’«après la moitié de la vie terrestre», «j’ai de nouveau visité ce coin de la terre» «dans la province au bord de la mer» - avec un appareil photo et un trépied.

Pour l’auteur, Old Peterhof est une plateforme scientifique de l’université, remontée dans le cercle entomologique des enfants, et en tant qu’étudiant, et depuis une dizaine d’années déjà, l’enseignante Ilya Udalov y anime des ateliers pour les étudiants de la faculté de biologie. Et rien ne change dans la région. La nature renaît, les ruines subsistent.

La série a été filmée avec une vieille caméra «Praktika» sur un film infrarouge «déviant». A la lumière des rayons infrarouges invisibles du soleil, les verts de l’été mûr sont comme un automne doré dans le gel et la neige «au son de Vivaldi».

Vladislav Kuznetsov, poète

À propos de moi

Né en 1985 à Leningrad, dans une famille associée à l’art: ma mère est céramiste de formation à l’école Abramtsevo, mon père s’est engagé dans la photographie d’art en noir et blanc pendant la majeure partie de sa vie.

Depuis l’enfance, il s’intéresse à la biologie, fréquente les cercles biologiques, participe aux Olympiades de la ville. Diplômé de la Faculté de biologie de l’Université d’État de Saint-Pétersbourg, Ph.D. Biologiste, chercheur, enseignant de profession. Je vis et travaille à Saint-Pétersbourg.

En 2003, après une pratique étudiante à la mer Blanche, il a commencé à photographier la ville avec la caméra Zenit-12-SD de son père. Il a vécu en République tchèque pendant un an et demi, a raté sa ville, sa mémoire l’a effacé de l’agitation quotidienne. Les paroles de Saint-Pétersbourg sont intéressantes au-delà des signes changeants de notre temps.

Il a appris les techniques de prise de vue et d’impression de son père, sous l’influence esthétique de lui-même, de son camarade de classe et ami, le photographe Nikolai Tikhomirov, et de plusieurs de ses auteurs préférés de la chronique lyrique en noir et blanc de Saint-Pétersbourg.