"Années 90 fringantes. Liberté sans frontières" Automatique traduire

Le Musée d’Art de Saint-Pétersbourg des XX-XXI siècles présente une exposition-blockbuster de cet hiver - «Dashing 90s. Liberté sans limites. ”L’exposition, qui a absorbé plus de 150 œuvres d’art de 100 maîtres russes de différentes générations, combinant des phénomènes artistiques et des tendances de style polaire, est le regard IIIS sur des événements qui sont déjà devenus de l’histoire et une tentative d’identifier les nombreuses contradictions et problèmes qui existaient à l’époque.

L’art des années nonante était multiple babylonien. Toutes sortes d’escapades artistiques éclatant rapidement dans l’environnement culturel y ont pris la première place, défiant l’art traditionnel. Les limites de l’espace culturel se sont élargies. Diverses installations extrêmes, rappelant des décharges pittoresques ou sculpturales, des performances prétentieuses et des événements publics scandaleux ont rapidement approuvé une nouvelle esthétique de la liberté.

C’est avec une telle variété d’idées et de styles que la vie artistique des années 90 sera révélée au public. Les œuvres de Vladislav Mamyshev-Monroe, Vasily Komar et Alexander Melamid, Mikhail Roginsky, Victor Pivovarov, Igor Makarevich, Timur Novikov, Bella Matveeva, Olga Tobreluts, Marina Koldobskaya, Gipper-Pupper et bien d’autres se rappelleront l’image de l’audace absurdité de ces années.

Les œuvres de maîtres tels que Viktor Danilov, Mikhail Gavrichkov, Ostap Dragomoshchenko, Vasily Golubev, Alexander Lotsman, Evgeny Tykotsky, Vladimir Kanishchev et d’autres ajouteront des notes de sarcasme et d’ironie à l’exposition. Portraits de nouveaux Russes, confrontations criminelles dans la rue, bacchanales de scènes d’amour, images de lumpens remplissent l’art des années 90 avec un humour imprudent, à travers lequel les paroles troublantes et la nouveauté des émotions qui ont frappé les gens se rencontrent.

Les représentants de l’ancienne génération soviétique, leurs observations lugubres de la dégradation morale des compatriotes qui ont trahi les valeurs et les sanctuaires de la grande époque, sont incarnés dans les images des "Turcs" laids et répugnants, comme dans le cas d’Hélium Korzhev; le «vainqueur» seul marchant le long de la terre brûlée et dévastée, comme celle de Vitaly Tyulenev; les sans-abri et les concierges, comme Alexei Stern et Victor Mymrin; des personnages d’Ernst l’inconnu mutilés d’une collision avec la réalité désemparée; se régalant du dernier sabbat de la vie des héros de Natalia Nesterova et bien d’autres.

Chacun des spectateurs aura l’opportunité d’entrer en dialogue avec le temps, de corréler ses propres souvenirs avec les déclarations artistiques de ces années.

L’exposition propose un large programme pédagogique: projections de films, discussions, master classes, performances musicales et théâtrales, visites originales, conférence scientifique.