Tous les numéros de la "Niva" numérisée du domaine public Automatique traduire

MOSCOU. L’hebdomadaire pré-révolutionnaire "Niva" pourra maintenant lire tous les nouveaux venus.

Tandis que Karl Marx travaillait sans relâche sur le capital et rassemblait des travailleurs de différents pays sous la bannière de la Première Internationale, son homonyme, Adolf, arrivé de Stettin en Russie, décida de faire l’inverse. Il a fondé la maison d’édition des livres des meilleurs auteurs nationaux et étrangers, avec d’excellentes illustrations, de la littérature scientifique populaire et des publications d’art. Dix ans après la mort d’Adolf Fedorovich, son idée est passée aux mains du célèbre homme d’affaires et éditeur Ivan Sytin. La révolution d’octobre a marqué un tournant dans l’histoire de l’empire du livre de Marx.

Le Family Weekly Niva est l’un des projets les plus réussis d’Adolf Fedorovich. Les derniers numéros du magazine illustré parurent dans la période post-révolutionnaire de 1918, deux ans avant le cinquantenaire. La progression de la circulation de Niva est stupéfiante: en 1870 - 9 000 exemplaires, en 1904 - déjà 275 000 exemplaires. La popularité reposait sur plusieurs piliers: une fiction de haute qualité, des articles informatifs sur un large éventail de sujets, un prix pesant, une abondance. de photographies et d’illustrations. Le magazine connaissait les œuvres de classiques et d’auteurs contemporains, y compris des représentants de l’âge d’argent, éduqués, éduqués, informés des dernières nouvelles du parti laïc. Des applications gratuites avec des critiques de nouveautés et de motifs à la mode, de reproductions, d’œuvres rassemblées et de calendriers constituaient un incitatif supplémentaire pour les abonnés potentiels.

La numérisation de l’énorme archive Niva qui en résultera permettra aux lecteurs modernes de se familiariser gratuitement avec la publication nationale la plus populaire.

Elena Tanakova © Gallerix.ru