« Jambes grasses :
une histoire vraie » de Margaret Pokiak-Fenton Automatique traduire
«Fatty Legs: A True Story» est le récit autobiographique de 2010 de l’expérience d’enfance de l’auteure Margaret-Olemaun Pokiak-Fenton dans l’un des pensionnats pour enfants autochtones du Canada aux 19e et 20e siècles. Ce guide d’étude est basé sur l’édition du 10e anniversaire, dans laquelle plusieurs chapitres supplémentaires écrits par la belle-fille de Pokiak-Fenton expliquent le contexte plus large du colonialisme qui a créé le système des pensionnats. Ces pensionnats représentaient une tentative de dépouiller les élèves autochtones de leur identité culturelle et de remplacer leur éducation et leur éducation autochtones par la langue anglaise et les marqueurs culturels des cultures « occidentales » (influencées par les Blancs européens).
À huit ans, Olemaun Pokiak (son nom de naissance) a quitté sa maison sur l’île Banks, dans les terres ancestrales de sa communauté inuvialuit (le peuple inuit du nord-ouest de l’Arctique dans l’actuel Canada) et s’est rendue au pensionnat catholique d’Aklavik., sur le continent. L’intimidation, l’humiliation, les abus et la souffrance ont marqué l’expérience scolaire de Margaret-Olemaun. Ses souvenirs correspondent aux modèles de milliers d’autres élèves des pensionnats qui ont publié des récits ou donné des interviews de leur séjour dans les pensionnats à travers le continent (un système similaire s’est étendu aux États-Unis et a été marqué par la même mission d’assimilation et le traitement abusif des élèves). Le titre «Fatty Legs» vient d’un surnom que d’autres élèves utilisaient pour tourmenter l’auteur Margaret-Olemaun après qu’une nonne cruelle lui ait fait porter des bas rouge vif peu flatteurs tandis que les autres filles portaient du gris. L’histoire des deux années scolaires, cependant, en est finalement une de triomphe, de persévérance et de résilience. Dans un rapport produit par la Commission de vérité et réconciliation du Canada - un organisme gouvernemental créé pour recueillir des données sur l’histoire des pensionnats et éduquer les Canadiens modernes sur les effets passés et présents d’une politique assimilationniste erronée - la commission a déterminé que les pensionnats constituaient un « génocide culturel ». Alors que le système et les politiques concurrentes ont diminué les populations autochtones, ignoré la souveraineté tribale et endommagé les communautés autochtones, les peuples autochtones et leurs diverses cultures ont réussi à survivre, même s’ils ont été modifiés par des étrangers. Raconté par la voix d’un protagoniste autochtone, le livre offre aux lecteurs un récit de première main du racisme anti-autochtone historique et une histoire qui illustre comment les populations ciblées se sont adaptées, ont résisté et ont conservé leurs cultures et leurs identités.
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