"L’histoire des rois de Bretagne" par Geoffroy de Monmouth Automatique traduire
Composée à l’origine en latin, «L’histoire des rois de Grande-Bretagne» de Geoffrey de Monmouth prétend être une histoire des rois de Grande-Bretagne depuis la fondation de l’île par le descendant troyen Brutus en 1200 avant notre ère, jusqu’à l’abandon de l’île par les Britanniques au septième siècle. CE. Le texte est apparu pour la première fois dans les années 1130 et a été immédiatement populaire, inspirant des récits et des adaptations par des écrivains et des artistes à travers les siècles. Parce que son mérite historique est presque inexistant, il a été qualifié d’épopée en prose et traité comme un texte littéraire dont le but premier est patriotique. On lui attribue l’introduction de la figure de Merlin et l’élévation du roi Arthur au statut mythique.
Ce guide fait référence à l’édition Penguin Classics traduite par Lewis Thorpe. Constatant que les divisions médiévales du texte étaient arbitraires, Thorpe divise l’ouvrage en neuf sections, dont une dédicace et huit parties intitulées par thème. Le livre commence par une dédicace dans laquelle Geoffrey observe les conventions de l’époque en louant ses mécènes et en exprimant l’espoir que ses maigres compétences seront à la hauteur de la tâche qui lui est confiée. La première partie concerne la fondation de la Grande-Bretagne par l’arrière-petit-fils d’Enée, qui a fondé Rome après avoir fui la chute de Troie. Brutus est exilé de chez lui, endure une période d’errance - pendant laquelle il libère des chevaux de Troie qui ont été réduits en esclavage par les Grecs victorieux - et reçoit une prophétie pour se rendre sur une île inhabitée qui deviendra la Grande-Bretagne. La généalogie et le parcours de Brutus en font une figure comparable aux anciens héros épiques et un héritier de l’héritage troyen qui le lie à Rome. Les références à la connexion des Britanniques à Troie et à Rome se reproduiront tout au long du texte, impliquant leur statut égal à leurs conquérants romains. La deuxième partie couvre les siècles entre la fondation de la Grande-Bretagne et l’arrivée des Romains. Geoffrey galope rapidement à travers environ 1 000 ans de dirigeants, identifiant la succession et partageant des anecdotes qui confèrent authenticité et intérêt au récit. Parmi les nombreux rois dont il parle, il y a les frères Belinus et Brennius qui se battent initialement pour le trône mais finissent par faire la paix et unissent leurs forces pour capturer Rome, ce qui devient un détail important qui légitime davantage la vision de la Grande-Bretagne comme l’égale de Rome. L’époque romaine de la Grande-Bretagne fait l’objet de la partie 3. Il faut deux ans à Rome, trois batailles et la trahison britannique pour soumettre la Grande-Bretagne. Geoffrey reste concentré sur la succession, parcourant les différents rois et leurs relations fluctuantes avec Rome. On note également tout au long de cette section les mariages mixtes entre Romains et Britanniques qui brouillent davantage les frontières entre conquérant et conquis. Le dirigeant le plus notable de cette période est Maximianus, qui devient un récit édifiant sur le danger de poursuivre des territoires lointains au détriment de la sécurité et de la stabilité de la patrie. Le récit se concentre sur une durée plus courte dans la partie 4, car il ouvre la voie à l’apparition d’Arthur. Geoffrey discute des ancêtres d’Arthur, y compris son grand-père Constantin et son père Utherpendragon. Entre les deux règnes, le chef local Vortigern prend le pouvoir et sollicite l’aide de magiciens, amener Merlin dans le récit. Geoffrey interrompt son récit des rois pour partager les prophéties de Merlin, qui apparaissent comme un discours rapporté dans la partie 6. Avec des références parfois obscures, les prophéties rappellent le livre des révélations du Nouveau Testament. Dans la partie 6, Geoffrey revient aux rois, examinant la confrontation entre Vortigern et Aurelius Ambrosius, le fils de Constantin (et l’oncle d’Arthur). Après l’assassinat d’Aurelius Ambrosius, Utherpendragon prend le trône. Après avoir remporté la victoire contre ses ennemis, Utherpendragon rentre chez lui pour se régaler et tombe amoureux d’Ygerna, qui est déjà mariée à un duc britannique. Utherpendragon engage Merlin pour l’aider à tromper Ygerna, et ils conçoivent Arthur. Le règne réussi d’Arthur fait l’objet de la partie 7. Couronné à 15 ans, Arthur bat les ennemis locaux, restaure les églises détruites par les païens saxons, épouse Guenièvre et défie les demandes romaines d’hommage. Après avoir vaincu les troupes romaines, Arthur envisage d’attaquer Rome elle-même mais annule son expédition après avoir entendu que son neveu Mordred s’est déclaré roi et a noué une relation adultère avec Guenièvre. Se dépêchant de rentrer chez lui, Arthur combat et abat Mordred. Mortellement blessé, Arthur déménage sur l’île d’Avalon après avoir fait son devoir. La partie 8 relate la domination saxonne de la Grande-Bretagne, due à l’impiété et à la tendance à la guerre civile des Britanniques. La famine et la peste ravagent la population, et les Saxons, qui parviennent à éviter les conflits civils, prennent le contrôle de l’île. Les conditions des Britanniques s’améliorent avec les règnes de Cadwallo et de son fils Cadwallader. Cependant, après que ce dernier tombe malade, les Britanniques succombent à nouveau au conflit interne. Cadwallader navigue vers la Bretagne et un ange l’informe que Dieu ne veut plus que les Britanniques gouvernent l’île. Cadwallader est condamné à faire pénitence. Les Bretons se relèveront au moment révélé par les prophéties de Merlin. Les Britanniques étant incapables de reprendre l’île, le récit se termine en 768.
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