"Manfred" de Lord George Gordon Byron (Lord Byron)
Automatique traduire
Écrit en 1816-1817 par le poète britannique Lord George Gordon Byron, « Manfred » est un drame caché, ce qui signifie que Byron n’a jamais voulu qu’il soit produit sur scène malgré son écriture dans le style d’une pièce en vers, avec des parties de dialogue pour divers personnages.. L’œuvre est centrée sur la culpabilité de l’éponyme Manfred pour sa relation amoureuse tragiquement défectueuse avec une femme nommée Astarte. De nombreux critiques pensent que la relation entre Manfred et Astarte est supposée avoir été incestueuse, parce que Byron lui-même a été rejeté par la société londonienne après avoir été accusé d’avoir eu une relation incestueuse avec sa demi-sœur, Augusta Maria Leigh, et surtout parce que « Manfred » a été écrit immédiatement après. Byron a quitté l’Angleterre pour toujours à cause de ces rumeurs, d’une dette insurmontable et d’un divorce scandaleux. Que «Manfred» ait ou non ce niveau de signification autobiographique, il a été reconnu pour illustrer les thèmes clés du mouvement littéraire romantique et pour le protagoniste sombre et torturé Manfred. «Manfred» a été adapté plusieurs fois en œuvre musicale, dont une pièce de Robert Schuman («Manfred : Poème dramatique avec musique en trois parties», 1852), et une autre de Piotr Tchaïkovski («Manfred Symphony, Op. 58», 1885).
Lord Byron, comme l’auteur est communément connu, continue d’être reconnu comme l’un des poètes britanniques les plus importants et les plus influents du XIXe siècle, et est surtout connu pour le poème narratif «Childe Harold’s Pilgrimage» (1812), le poème épique satirique «Don Juan» (1819), et son origine du héros byronique, une variante du type de personnage littéraire du héros romantique. Ce guide fait référence à l’édition 2015 de Cambridge Scholars Publishing de «Manfred». Manfred est un seigneur vivant dans un château des Alpes. Il est maussade et reclus, convaincu qu’il a commis une sorte de péché lié à sa bien-aimée Astarte, qui est maintenant décédée, et cherche à effacer sa mémoire du crime. Manfred utilise des pouvoirs magiques qu’il a développés pour invoquer sept esprits. Il demande le pouvoir d’oublier parce qu’il est rongé par la culpabilité. Les esprits lui disent qu’il est au-delà d’eux d’accorder le pouvoir d’oublier et que le seul moyen qu’ils connaissent pour lui d’effacer sa culpabilité est de mourir. Manfred renvoie les esprits, mécontent de leur réponse. Désespéré, il part se promener dans les Alpes et décide de se suicider en sautant d’une falaise. Un chasseur de chamois voit Manfred agir étrangement et le sauve à la dernière seconde. Par hospitalité, le chasseur de chamois offre à Manfred du vin, ce qui plonge Manfred dans un délire dans lequel il explique que sa culpabilité est liée au sang qui a coulé entre lui et Astarte. Manfred proclame qu’il doit être puni pour son crime. Le chasseur de chamois essaie de convaincre Manfred de chercher le salut, mais Manfred rentre chez lui. Manfred convoque alors une puissante sorcière connue sous le nom de Sorcière des Alpes et lui demande de ressusciter Astarte. Elle propose d’évoquer l’esprit d’Astarte en échange de l’obéissance éternelle de Manfred, mais Manfred refuse. Manfred fait alors appel au grand esprit Arimanes. Les serviteurs d’Arimane, les Destinies, apparaissent en premier et se moquent des humains comme Manfred. Quand Arimanes apparaît, Manfred refuse de s’incliner devant lui, choquant les Destinies. Arimanes conjure l’esprit d’Astarte, qui est d’abord silencieux. Quand Astarte parle enfin, elle déclare que la mort de Manfred est inévitable. Désemparé, Manfred reçoit la visite de l’abbé de Saint-Maurice. L’abbé sait que Manfred fréquente des esprits démoniaques. Il propose d’aider à conduire Manfred au salut, mais Manfred refuse, sentant qu’il est allé trop loin et consumé par sa culpabilité. L’abbé est surpris et troublé par la profondeur de la tristesse de Manfred, mais s’en va. Plus tard cette nuit, Les serviteurs de Manfred observent la tour dans laquelle Manfred s’est enfermé. L’abbé réapparaît, exigeant de revoir Manfred. Dans la tour, l’abbé regarde Manfred invoquer un autre démon pour l’escorter jusqu’à sa mort. Manfred meurt et la pièce se termine alors que l’abbé se demande où est passée l’âme de Manfred.
- "La rue américaine" par Ibi Zoboi
- "L’aube de tout: une nouvelle histoire de l’humanité" par David Graeber, David Wengrow
- "Guerre américaine" d’Omar El Akkad
- "La mort et la vie des grandes villes américaines" de Jane Jacobs
- "L’élégance du hérisson" de Muriel Barbery
- Kanafi Nafikov. Histoire de Nariman
Vous ne pouvez pas commenter Pourquoi?