"La Chartreuse de Parme" de Marie-Henri Beyle Automatique traduire
Marie-Henri Beyle, écrivant sous son pseudonyme Stendhal, publie son dernier ouvrage complet, le roman «La Chartreuse de Parme», en français en 1839. Il raconte l’histoire d’un noble italien qui combat dans les guerres napoléoniennes (1803-1815) puis navigue dans la dynamique politique tendue de l’époque connue sous le nom de Restauration italienne (1814-1848). C’était une époque où la mémoire de la révolution était réprimée et où le pouvoir semblait à beaucoup fonctionner sur le caprice et l’intrigue au milieu de structures de classe changeantes. Bien que se déroulant à Parme, un duché d’Italie, le livre reflète de nombreux conflits politiques qui se déroulaient en France à l’époque entre les monarchistes et les partisans du gouvernement républicain après la Révolution française. En 1814,
Stendhal est l’un des écrivains les plus célèbres du XIXe siècle pour ses développements dans le réalisme, la profondeur psychologique et les thématiques historico-politiques. Influençant des écrivains comme Honoré de Balzac et Léon Tolstoï, «La Chartreuse de Parme» rejoint son roman «Le Rouge et le Noir» (1830) comme l’une des œuvres les plus importantes de Stendhal. Le roman est raconté d’un point de vue omniscient, permettant aux pensées privées des personnages d’être tissées dans une histoire densément tracée. Tout aussi centraux sont les dialogues détaillés d’intrigues politiques qui démontrent l’intérêt de Stendhal pour la pensée logique ainsi que pour la narration imaginative. Ceux-ci faisaient partie des principes d’une philosophie de la vie qu’il a surnommée le beylisme : «la logique, le bonheur, l’esprit» - raison, bonheur, esprit. L’intrigue du roman s’inspire de la lecture par Stendhal des chroniques de la Renaissance italienne et, en particulier, des histoires du pape Paul III, né Alessandro Farnese, qui aurait eu une liaison avec sa belle-mère. Le rythme rapide de l’intrigue rappelle un conte de la Renaissance rempli d’aventures, incitant l’écrivain du XXe siècle Italo Calvino à se demander que «de nombreux jeunes seront séduits dès les premières pages […] instantanément convaincus que ce doit être le meilleur roman jamais écrit». (Calvino, Italo. «Pourquoi lire les classiques?». Mariner Books. 1991.) « Pourquoi lire les classiques ? ». Livres de marin. 1991.) « Pourquoi lire les classiques ? ». Livres de marin. 1991.)
À travers 27 chapitres mouvementés, «Charterhouse of Parma» retrace la vie de l’un des héros littéraires les plus mémorables du XIXe siècle et au-delà: le noble italien fougueux mais sûr de lui, Fabrizio Valserra del Dongo. Fabrice est tour à tour un esprit révolutionnaire en quête de liberté, un libertin coureur de jupons vierge d’amour, un étudiant en théologie épris de présages et d’absolutisme, un charmeur espiègle qui joue avec des amants jaloux, un homme recherché, un romantique amoureux et un clerc pieux. Il est sauvé à plusieurs reprises par des bienfaiteurs, au premier rang desquels sa tante Gina del Dongo et son compagnon le comte Mosca. Objet de jalousie, d’adoration et de rage pour tout un échantillon de l’Italie post-napoléonienne, Fabrizio représente les facettes innombrables et souvent contradictoires de l’identité noble en lui-même ainsi que les loyautés déchirées de ceux qui lui sont liés. Imprégné d’histoire, le roman s’ouvre sur l’invasion de Milan par Napoléon en 1796. Fabrizio est né d’une femme noble et d’un lieutenant dans l’armée de Napoléon lorsque l’Italie est en équilibre entre l’indépendance républicaine et la domination monarchique autrichienne. A 16 ans, il rejoint la bataille de Waterloo et, dénoncé par son frère aîné, est exilé de sa maison d’enfance. Après l’exil, Fabrice est envoyé par sa tante dans une académie ecclésiastique à Naples. De là, il la rejoint à Parme avec l’idée de devenir éventuellement archevêque provincial. Cerveau politique et joyau de la cour de Parme, Gina complote avec Mosca, lui-même un puissant ministre, pour protéger l’avenir de Fabrizio. Elle nourrit pour son neveu une affection proche de l’amour romantique, mais Fabrizio ne rend pas la pareille aux sentiments romantiques. Gina et Mosca sont des pragmatiques qui recherchent le pouvoir, et parfois seulement la survie, avec un minimum de regret moral. Ils justifient leurs actions par les termes changeants de la nécessité. Lorsque Fabrizio tue un amant jaloux, son crime devient une opportunité politique à Parme pour déposer Gina et Mosca. Gina attise la rage du prince dans une tentative d’exonérer son neveu, et Fabrizio est jeté dans la tour Farnèse, qui porte le nom d’un prince incestueux et suggère les rumeurs entourant le pape Paul III. Fabrice est à l’écart du monde politique qu’il jette dans le tumulte, si bien qu’alors qu’une bataille se déroule entre Gina et le Prince, il trouve finalement le bonheur en prison plutôt qu’en la fuyant. Fabrice tombe amoureux par la fenêtre de sa prison de la fille du geôlier, Clélia Conti. Son emprisonnement longtemps prophétisé arrive, mais avec le résultat inattendu de la béatitude. Gina et Mosca réussissent à fournir l’évasion et l’exonération de Fabrizio avec des plans élaborés qui aboutissent à l’empoisonnement du prince par Gina, une tâche exécutée pour elle par un poète républicain-révolutionnaire. Tout comme Gina a planifié son évasion, Fabrizio planifie son retour - sinon en prison, du moins à Clélia, qui récompense son amour mais, coupable envers son père, jure de ne jamais regarder Fabrizio après qu’elle ait aidé à son évasion. Fabrice passe des années enveloppé d’une misère qui est confondue avec une piété sans précédent, ce qui le rend célèbre parmi les habitants de Parme. Clélia en épouse une autre mais porte l’enfant de Fabrizio, qu’ils enlèvent mais qui meurt dans la foulée. Clélia suit. Fabrice entre enfin dans la Chartreuse de Parme jusqu’alors inconnue, un monastère, pour mourir un an plus tard. Gina le suit,
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