"L’herbe chante" de Doris Lessing Automatique traduire
«L’herbe chante» est un roman puissant qui explore plusieurs sujets poignants, notamment les relations humaines, les luttes de pouvoir et les effets du racisme. Le roman se déroule en Rhodésie du Sud (Afrique du Sud actuelle) et explore la vie de ses habitants pendant les règles blanches dans le comté. Le roman était le premier roman de Lessing et a contribué à la propulser vers le succès littéraire. Son traitement du désir, de la motivation et des besoins concernant les individus, les communautés et même les nations est magistral et complet.
Le récit concerne les événements de la vie de Mary Turner. Dès le premier chapitre, le lecteur est conscient que Mary, sûre d’elle-même, a été assassinée par son domestique, Moïse, qui a avoué le meurtre et a été arrêté. Il attend son procès et sera exécuté pour le crime. A partir de cette révélation choquante, le narrateur explique comment Mary et son mari, Dick Turner en sont venus à être fortement détestés par «le district», la communauté agricole blanche dont ils faisaient partie. Bien qu’il y ait de nombreuses raisons pour lesquelles ils ne sont pas aimés, il est laissé entendre que certaines raisons - qui sont en fait liées au meurtre - ne sont discutées par personne. Ce fait pique l’intérêt du lecteur à découvrir exactement ce que cette communauté sait de Mary Turner et de sa relation avec son domestique, Moïse. Le récit explique comment Mary Turner et Dick Turner vivent dans une pauvreté abjecte, irritant davantage leurs voisins qui se sont donné beaucoup de mal pour s’assurer que les Blancs ne semblaient pas pauvres, ou en aucune façon comme les indigènes méprisés. La pauvreté des Turners est un affront au quartier. Le récit présente ensuite Charlie Slatter, qui joue un rôle déterminant dans le cas de la mort de Mary Tuner et qui s’intéresse davantage aux questions qu’il n’est initialement révélé. Charlie se précipite à la ferme, interroge le directeur, Tony Marston, puis trouve un Dick Turner confus (et fou) errant. Il est révélé que Charlie détestait Mary Turner pour une raison quelconque. Lorsque le sergent, Denham, arrive à la ferme des Turner et trouve Charlie, lui aussi montre à Mary la même haine. Marston est frais sur le terrain et ne comprend pas cette haine. Il ne comprend pas non plus pourquoi les deux hommes semblent conspirer pour dissimuler la vraie nature possible du meurtre. Il a vécu avec les Turner et sait des choses qu’il ne devrait pas savoir. Il est cependant méprisé par les hommes et quitte définitivement la communauté agricole en raison du traumatisme du meurtre et de ses conséquences. À partir de la mort de Mary, de la folie de Dick et du départ de Marston, le récit revient ensuite sur le début du temps passé par Mary et Dick ensemble pour étoffer leur vie et expliquer comment ils se sont retrouvés dans la tragédie expliquée dans le premier chapitre. Le récit montre Mary comme une femme heureuse et indépendante travaillant dans la ville. Sa vie insouciante est brisée lorsqu’elle surprend un groupe d’amis bavardant sur ses sombres perspectives de mariage. Ces commérages dérangent Mary, et elle entreprend de trouver un mari. Pendant ce temps, Dick Turner arrive en ville pour tuer le temps et voit Mary dans un théâtre, tomber amoureux au premier regard. Dick Turner déteste la vie citadine et tout ce qu’elle implique ; il veut se marier et avoir des enfants, mais est gêné par la malchance et la pauvreté. Les deux se rencontrent, ont un premier départ difficile, mais se marient néanmoins. Dick emmène Mary à la ferme et leur vie commence à se défaire peu de temps après. Les problèmes de Dick en tant que couple d’agriculteurs incompétents avec la haine croissante de Mary pour la vie à la ferme et les indigènes parmi lesquels elle est forcée de vivre. Elle a essayé de fuir la pauvreté toute sa vie, mais vivre avec Dick la force à reprendre le rôle de sa mère, une femme rejetée. Cela paralyse Marie. La désillusion de Mary vis-à-vis de la vie commence à se manifester par plusieurs ruptures de personnalité, notamment une tentative de fugue et, plus tard, une relation sexuelle dévastatrice avec un natif, Moïse, que le lecteur connaît comme son meurtrier. La vie de Dick et Mary s’effondre, et avec le temps, leurs attentes de la vie et leurs opinions sur la réalité s’effondrent également. Ils deviennent tous les deux apparemment fous, et le résultat est une tournure choquante des événements qui boucle la boucle narrative. Le roman de Lessing est une critique des mœurs autant qu’une critique des valeurs individuelles. Les Turner et leurs espoirs sont représentatifs des espoirs de nombreux individus et couples. Plus important encore, le récit montre jusqu’où les gens sont prêts à aller pour réaliser leurs espoirs et leurs rêves, et ce dont certaines personnes sont victimes lorsque leurs rêves sont brisés et qu’elles n’ont rien d’autre à quoi s’accrocher. La folie est vue sous un nouveau jour, comme un refuge. Le cas est fait que peut-être les fous sont justifiés sous une certaine lumière, le lecteur étant finalement laissé pour déterminer si la justification est possible compte tenu des circonstances. Ils deviennent tous les deux apparemment fous, et le résultat est une tournure choquante des événements qui boucle la boucle narrative. Le roman de Lessing est une critique des mœurs autant qu’une critique des valeurs individuelles. Les Turner et leurs espoirs sont représentatifs des espoirs de nombreux individus et couples. Plus important encore, le récit montre jusqu’où les gens sont prêts à aller pour réaliser leurs espoirs et leurs rêves, et ce dont certaines personnes sont victimes lorsque leurs rêves sont brisés et qu’elles n’ont rien d’autre à quoi s’accrocher. La folie est vue sous un nouveau jour, comme un refuge. Le cas est fait que peut-être les fous sont justifiés sous une certaine lumière, le lecteur étant finalement laissé pour déterminer si la justification est possible compte tenu des circonstances. Ils deviennent tous les deux apparemment fous, et le résultat est une tournure choquante des événements qui boucle la boucle narrative. 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