"Mlle Brill" de Katherine Mansfield Automatique traduire
«Miss Brill» est une nouvelle écrite par Katherine Mansfield. Publiée pour la première fois dans la revue littéraire «Athenaeum» en 1920, l’histoire explore la nature humaine à travers des thèmes tels que le pouvoir de l’imagination et le rôle que chaque personne joue dans la vie. Mlle Brill, une Anglaise d’âge moyen, célibataire et solitaire vivant dans une ville française, raconte une sortie du dimanche après-midi aux Jardins Publiques au début de l’automne.
Par un beau et frais dimanche d’automne, alors qu’elle est assise sur son banc habituel, Miss Brill se souvient d’avoir sorti son collier spécial en fourrure de renard et de l’avoir soigneusement préparé pour sa sortie hebdomadaire aux Jardins publics. Après avoir brossé la fourrure, poli les yeux de verre de la petite créature et réparé son nez écrasé, Mlle Brill révèle qu’il n’est pas qu’une fourrure; c’est un «petit coquin» (Paragraphe 1) et un compagnon. Mlle Brill remarque chaque détail de son environnement alors qu’elle est assise dans le parc; elle commente la fraîcheur de l’air et le nouveau manteau du chef d’orchestre et sa manière fière de diriger, «comme un coq sur le point de chanter» (Paragraphe 2). La musique semble «plus forte et plus gaie» (Paragraphe 2) aujourd’hui avec le début de la saison. Partageant son banc avec un vieux couple qu’elle a déjà vu ici, elle est déçue qu’ils ne parlent pas parce qu’elle aime écouter la vie des autres. Elle révèle que l’écoute clandestine est l’une de ses parties préférées des dimanches dans le parc, où elle peut s’imaginer «assise dans la vie des autres juste une minute» (paragraphe 3). Se souvenant du couple d’Anglais qui s’était assis à côté d’elle la semaine précédente, elle raconte son dégoût pour la femme, qui discutait longuement de son besoin de lunettes tout en refusant de les obtenir, tandis que son mari patient tentait de l’aider en lui indiquant des solutions à tous les problèmes. difficultés qu’elle imaginait que les lunettes causeraient. Mlle Brill «avait envie de la secouer» (paragraphe 4). Continuant à observer les gens dans le parc ce dimanche, Miss Brill décrit tous les passants : petits enfants qui courent partout, poursuivis par leurs mères ; les enfants plus âgés jouent, courent, et rire; jeunes couples se retrouvant pour une promenade ; et deux paysannes se promenant dans le parc conduisant des ânes. Mlle Brill commente que les gens dans le parc chaque dimanche sont presque toujours les mêmes, et qu’il y a quelque chose de «drôle chez presque tous. Ils étaient bizarres, silencieux, presque tous vieux, et d’après leur regard ils avaient l’air de sortir de petites pièces sombres ou même… même d’armoires!» (Paragraphe 5). Soudain, une scène se déroule devant elle : une femme plus âgée rencontre un homme qu’elle connaît. Elle porte une vieille toque d’hermine fanée ; elle est toute de la même couleur - jaune et fanée - que son chapeau. L’homme la repousse brutalement, lui soufflant la fumée de sa cigarette au visage et s’éloignant. La vieille dame fait semblant d’apercevoir une autre meilleure connaissance au loin et s’en va. Mlle Brill sympathise avec cette femme, en imaginant que le tambour du groupe bat «La Brute! La Brute!" (Paragraphe 8) en réponse à la grossièreté impitoyable de l’homme. Le vieux couple se lève et s’éloigne. Mlle Brill se rend compte que la scène devant elle lui rappelle une pièce de théâtre ; ils sont tous acteurs sur la scène de la vie. De cette façon, elle peut s’imaginer comme une actrice importante dans la pièce, une partie nécessaire et intégrale de la vie. Elle se rend compte que c’est pourquoi elle hésite à parler à ses élèves d’anglais de ce qu’elle fait le dimanche. Elle imagine même le vieil homme invalide qu’elle lit être impressionné qu’il soit lu par une actrice. Elle s’imagine lui dire qu’elle est actrice depuis longtemps. L’orchestre recommence et Miss Brill imagine toute la compagnie - tous les étrangers dans le parc - chantant avec l’orchestre. Ils font tous partie de quelque chose d’édifiant et de merveilleux. À ce moment, un jeune couple s’assied à côté d’elle, et Miss Brill les jette immédiatement comme le héros et l’héroïne de sa pièce intérieure. Soucieux de leur propre vie, le jeune homme veut que la jeune femme lui dise qu’elle l’aime. Elle refuse. Le jeune homme suppose que sa petite amie est timide à cause de la vieille dame assise à côté d’eux ; il insulte Mlle Brill, la traitant de «vieille idiote» dont personne ne veut et qui devrait «garder sa vieille gueule idiote à la maison» (paragraphe 13). À son tour, la jeune fille se moque de la fourrure de Miss Brill, qui, selon elle, ressemble à un «merlan frit» (paragraphe 14). Mlle Brill rentre directement chez elle, sans s’arrêter à la boulangerie pour son morceau habituel de gâteau au miel, un régal hebdomadaire. Elle reste longtemps assise sur son lit, dans sa «petite chambre noire - sa chambre comme une armoire» (paragraphe 18) ; puis, elle range délicatement son collier de fourrure.
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