"Mencius" par Mencius Automatique traduire
«Mencius» est un texte philosophique basé sur la pensée et les enseignements du philosophe chinois confucianiste Mencius, ou Mengzi, du IVe siècle avant notre ère. Selon la dernière étude, rédigée à la fin du IVe siècle avant notre ère par les disciples de Mencius à partir de notes sur ce que Mencius a dit, elle détaille les conversations qu’il a eues avec divers rois, dirigeants et fonctionnaires. Ces discussions couvrent une gamme de sujets, de la philosophie morale et politique à la nature humaine et à l’individualité. Le guide suivant utilise la traduction du chinois par DC Lau et l’édition Penguins Classic 2004 de cette traduction. Cette édition comprend également des éléments supplémentaires sur la vie de Mencius, l’histoire de la Chine ancienne et la composition du texte de «Mencius».
«Mencius» a été créé à l’ombre de ce que l’on appelle «la période des États en guerre». S’étendant de 475 à 221 avant notre ère, ce fut une période de grand conflit et d’instabilité, ainsi que de changement et de réforme, en Chine, au cours de laquelle les États rivaux se disputaient le pouvoir. Ce contexte éclaire la question centrale de «Mencius», qui demande comment, socialement et individuellement, on peut retrouver la paix et la moralité du chaos. Mencius aborde la question de savoir comment «la voie», un ordre naturel dans lequel tous les éléments de la vie cohabitent harmonieusement, peut être récupérée dans un monde de guerre et de souffrance apparemment omniprésentes. «Mencius» aborde cette question de diverses manières. Il est divisé en sept livres, chacun comportant deux parties d’environ 10 pages, et chaque livre prend la forme de Mencius décrivant des aspects de sa philosophie avec et en réponse à divers interlocuteurs importants de son époque. Les sections vont des aphorismes d’une seule ligne à des discussions plus approfondies se poursuivant sur plusieurs pages. De plus, bien qu’il n’y ait pas de logique stricte dans la disposition des sections et que certaines idées reviennent tout au long du texte, la mise en avant de thèmes spécifiques distingue les différents livres et parties. Dans le Livre I, Mencius introduit l’idée de bienveillance comme moyen de retrouver «le chemin». Si les individus et les dirigeants donnent la priorité au bien commun plutôt qu’à l’avantage égoïste, il est possible d’avoir un ordre social et un bonheur justes et harmonieux. Dans le livre II, Mencius aborde la question de savoir comment une telle bienveillance est possible. C’est le cas, affirme-t-il, parce que chaque être humain possède de la compassion. La compassion, ou la sensibilité à la souffrance des autres, peut, si elle est correctement cultivée, se développer en un sens pleinement moral et bienveillant. Le Livre III souligne qu’en cours de route, il doit encore y avoir des dirigeants et des gouvernés ainsi qu’une hiérarchie sociale. Mencius invoque la division du travail pour justifier ce point. Tout comme un bon menuisier doit se spécialiser dans la menuiserie et ensuite acheter son tissu plutôt que d’essayer de tout fabriquer lui-même, de même le dirigeant doit se spécialiser dans la gestion, plutôt que de s’essayer également à l’agriculture ou à la pêche. Le livre IV, quant à lui, avance l’argument selon lequel la bonne gouvernance s’obtient en regardant en arrière et en respectant les grands rois et ancêtres du passé. Ainsi, la voie est temporelle : elle est liée à une compréhension et au respect du passé. Le livre V donne des détails plus précis sur les pratiques qui constituent l’ordre social harmonieux. Le rôle précis de la famille et du mariage, ainsi que l’étiquette sociale, les relations sociales et l’amitié, sont explorés, tout comme les cadeaux et l’importance du respect des rites ou coutumes. Encore une fois, essayant d’étayer sa conviction que cette voie est réalisable, Mencius défend dans le Livre VI sa position selon laquelle la nature humaine est fondamentalement bonne. Il le fait en réponse au philosophe Kao Tzu, qui affirmait que la nature humaine est amorale : ni bonne ni mauvaise. Enfin, le dernier livre, VII, traite des questions de destin, de destin et de mort. La manière dont nous réagissons à ces forces est discutée en relation avec l’ascétisme. La bonne attitude face aux coups du sort n’est ni d’adopter la résignation et la passivité, ni de s’en plaindre. Au lieu de cela, la réponse idéale consiste à cultiver une conscience et une ouverture à notre destin.
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