"L’odeur des pommes" de Mark Behr Automatique traduire
«L’Odeur des pommes», le premier roman de l’écrivain sud-africain Mark Behr, a été initialement publié en 1993 en afrikaner, avant d’être publié en traduction anglaise en 1995 avec un succès international. Il a remporté de nombreux prix littéraires prestigieux, notamment le M-Net Literary Award du meilleur roman sud-africain ; le prix Betty Trask du meilleur premier roman publié dans le Commonwealth britannique ; et le prix Art Seidenbaum du meilleur premier roman de langue anglaise, présenté par «The Los Angeles Times». Mark Behr, né en 1963 et décédé en 2015, est devenu l’une des voix les plus importantes de la génération d’écrivains sud-africains qui ont grandi au cours des dernières décennies de l’apartheid. Compte tenu du regard controversé du roman sur l’impact de l’apartheid sur les enfants blancs d’Afrique du Sud, Behr a d’abord eu du mal à trouver un éditeur. Deux ans après sa mort, «L’odeur des pommes» a fait ses débuts en tant que drame à un seul acteur, joué dans des salles à guichets fermés dans toute l’Afrique du Sud et remportant de nombreux prix importants pour son acteur, Gideon Lombard.
Le narrateur de «L’odeur des pommes» est Marnus Erasmus, 11 ans, un Afrikaner blanc vivant au Cap, en Afrique du Sud. Bien que ses souvenirs permettent à son récit de couvrir plusieurs souvenirs significatifs de son enfance, le récit se déroule en grande partie sur les dernières semaines de 1973, alors que Marnus se prépare pour les vacances d’été qui approchent. Sa famille est aisée : son père, Johan, est officier de carrière, sa mère, Léonore, chanteuse d’opéra à la retraite. Sa sœur aînée, Ilse, fait partie des élèves les plus respectées et les plus prometteuses de leur école. Ses nouvelles opinions politiques libérales deviennent cependant une source de tensions au sein de la famille.
Marnus vénère son père : sa nature agressive, sa franchise et sa simple présence physique. Le récit de Marnus sur ses expériences quotidiennes reflète cependant son adhésion irréfléchie aux opinions racistes profondément ancrées de ses parents contre les Noirs d’Afrique du Sud. Des décennies plus tôt, la propre famille du père avait été chassée de la Tanzanie voisine par des Noirs et avait perdu ses riches terres agricoles pendant des générations. Aujourd’hui, les Blancs d’Afrique du Sud sont confrontés à la même menace. Bien que Marnus ne raconte que des expériences positives avec des «métis» (notamment Doreen, la femme de chambre de longue date de la famille), il accepte sans réserve la méfiance, la peur et la paranoïa de ses parents à l’égard des Noirs.
Le père ramène à la maison un général chilien comme invité. Bien que Marnus ne comprenne pas cela, le lecteur suppose que le général est en visite pour conseiller le père sur la manière de gérer la résistance des insurgés par la torture et l’emprisonnement. En écoutant les conversations pendant le dîner, Marnus apprend que l’Afrique du Sud a été isolée de la communauté internationale et qu’elle doit désormais résoudre elle-même le problème racial.
Frikkie Delport, l’ami le plus proche de Marnus, vient séjourner avec la famille ces derniers jours avant le départ du général et le départ de la famille en vacances. Marnus est fasciné par le général et, alors que la visite touche à sa fin, il espère jeter un dernier coup d’œil à une cicatrice blanche et irrégulière sur le dos du général. Espionnant le général dans la chambre d’amis, Marnus est perplexe de voir ce qu’il croit être sa sœur au bord du lit du général et le général debout au-dessus d’elle en sous-vêtements.
La nuit suivante, la dernière du général, Marnus entend des bruits étranges venant de la chambre d’amis. Il regarde à nouveau dans la chambre du général et voit cette fois son propre père sodomiser Frikkie. Bien qu’il essaie de parler à Frikkie le lendemain, l’ami ne dit rien et veut seulement rentrer chez lui. Marnus, incertain de ce qu’il a réellement vu, se prépare à partir en vacances avec sa famille.
Près de 20 ans plus tard, Marnus est lieutenant dans l’armée sud-africaine. Son peloton fait partie des opérations clandestines de son pays en Angola voisin, menées contre les rebelles communistes et aidées par Cuba. La campagne sud-africaine est désorganisée et les troupes afrikaners, dont Marnus, sont épuisées et démoralisées. Marnus est mortellement blessé lors d’une attaque au mortier menée tôt le matin par des Cubains pour tenter de paralyser un barrage hydroélectrique près de la ville de Calueque.
Résumés et analyses des chapitres «L’odeur des pommes n’a pas de divisions en chapitres, ni en parties. Le roman est présenté comme un récit de mémoire unique et homogène à la première personne raconté par un jeune garçon blanc, Marnus Erasmus, qui vit à Cape Town, en Afrique du Sud, au début des années 1970. Ce souvenir est périodiquement entrecoupé par le récit, en italique, d’un Marnus adulte, aujourd’hui lieutenant dans l’armée sud-africaine et faisant partie d’un corps expéditionnaire clandestin envoyé en Angola par le gouvernement blanc sud-africain».
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