"Arabe" de James Joyce Automatique traduire
«Araby» est une nouvelle de l’écrivain irlandais James Joyce. L’histoire fait partie de la célèbre collection «Dubliners» de Joyce, publiée pour la première fois en 1914, qui dépeint la vie quotidienne dans la ville irlandaise de Dublin au début du 20e siècle. Dans «Araby», un jeune garçon tombe amoureux de la sœur de son ami et tente de lui acheter un cadeau au Araby Bazaar. La nouvelle a été adaptée en chanson et en court métrage. Ce guide utilise une copie électronique de l’édition 2004 Barnes & Noble de «Dubliners».
Le narrateur anonyme de l’histoire est un enfant qui vit à Dublin au début du 20e siècle. Il habite dans une rue calme et sans issue dans laquelle plusieurs maisons brunes flanquent l’école d’un frère chrétien. Le narrateur fréquente l’école tout en vivant avec son oncle et sa tante dans l’une des maisons de North Richmond Street. La personne qui vivait auparavant dans la maison a laissé derrière elle de nombreux biens et le narrateur prend plaisir à fouiller dans ces objets pour reconstituer la vie de l’homme. Il sait que l’ancien locataire était un prêtre décédé dans le salon à l’arrière de la maison. Lors des sombres nuits d’hiver, le narrateur joue dans la rue. Il joue avec ses amis jusqu’à ce que leurs corps brillent dans l’air froid. Finalement, une sœur aînée de Mangan, l’une des amies du narrateur, interpelle et met fin à leurs jeux. Au cours d’une des nuits jouées dans la rue, le narrateur commence à voir la sœur de Mangan différemment. Il développe des sentiments amoureux pour elle. Au fil du temps, le narrateur devient de plus en plus épris de la sœur de son ami. Il pense à elle toute la journée. Au marché chaotique et bruyant de Dublin, il échappe au bruit en pensant à la sœur de Mangan. Il s’imagine s’affranchir du marché en la portant à travers la foule épaisse comme s’il était un personnage héroïque. Cependant, le narrateur ne parle jamais à la sœur de Mangan. Au lieu de cela, il la courtise dans son imagination. Un jour, la sœur de Mangan entame de manière inattendue une conversation avec le narrateur et lui demande s’il envisage d’aller au marché local connu sous le nom d’Arabi’s Bazaar. Le bazar est un marché religieux célèbre pour vendre des produits du Moyen et de l’Extrême-Orient. Le narrateur écoute la jeune fille expliquer qu’elle aimerait aller au marché mais qu’elle ne peut pas le faire car les religieuses qui dirigent son école participent à une retraite religieuse. Le narrateur, dans l’espoir d’impressionner l’objet de ses affections, promet d’aller au Bazar d’Araby et d’acheter quelque chose en son nom. Les rêveries du narrateur prennent une nouvelle dimension. Il imagine les articles qu’il achètera pour la sœur de Mangan chez Araby’s Bazaar. Il imagine clairement le marché dans son esprit. Toute cette rêverie a un impact sur le travail scolaire du narrateur. Son professeur devient frustré que le narrateur ne se concentre pas sur ses leçons importantes. Même si le narrateur sait que son professeur est en colère, il ne peut s’empêcher d’imaginer le bazar. Lorsque le samedi matin arrive, le narrateur rappelle à son oncle son envie d’aller au Araby’s Bazaar. Son oncle sort pour la journée et, lorsque le narrateur se met à table pour le dîner, son oncle n’est toujours pas revenu. Alors que le narrateur devient de plus en plus anxieux, son oncle rentre finalement chez lui vers neuf heures du soir. À en juger par la façon dont son oncle marche, le narrateur sait que son oncle a bu au pub local. Le narrateur regarde son oncle dîner et, alors que l’homme est à la moitié de son repas, le narrateur demande de l’argent pour visiter le bazar.L’oncle a déjà oublié la demande de son neveu. Il essaie de dissuader le narrateur de cette idée. Cependant, la tante du narrateur dit à son mari de donner de l’argent à leur neveu pour visiter le bazar. En s’excusant, l’oncle donne de l’argent au narrateur et récite un poème célèbre sur un Arabe qui essaie de vendre un cheval mais décide qu’il aime trop le cheval. Le narrateur se précipite hors de la maison avec une pièce de florin à la main. Il prend le train jusqu’à Araby’s Bazaar et arrive 10 minutes avant la fermeture. Le bazar est calme et le narrateur entre nerveusement. Il passe devant des stands vendant des services à thé et des stands vendant des vases. Il voit deux Anglais flirter avec une jeune commerçante. Lorsque la jeune femme demande au narrateur s’il souhaite acheter quelque chose, il sait qu’elle se montre simplement polie avec lui. Il décline son offre et lui permet de reprendre sa conversation, même si elle le surveille attentivement par-dessus son épaule. À la fermeture du marché, le narrateur se rend compte que tout son voyage a été une vaine poursuite. Il se tient dans le noir et réfléchit à ses actions, se sentant angoissé et en colère face à ce qu’il s’est permis de devenir.
- Culture and religion of ancient Arabia
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