"Party" Sally Potter et Alexei Rodionov au box-office Automatique traduire
MOSCOU. La comédie intellectuelle Sally Porter «Party» est sortie.
Fin décembre, la première tant attendue du nouveau film Sally Potter (Sally Potter) - "Party" (La fête). Une bonne occasion pour les nouveaux convertis de synéphiles de se familiariser avec l’une des figures les plus intéressantes du cinéma d’auteurs en Grande-Bretagne. Cinq ans se sont écoulés depuis la sortie de la cassette Ginger & Rosa sur l’amitié de deux adolescents pendant la crise des Caraïbes. Une longue pause est compréhensible. Un film honnête doit mûrir, brasser, comme un bon vin.
Il y a des nuances d’un genre différent. Le cinéma commercial, donnant accès à des budgets et des opportunités illimités, exige en retour une fidélité et des profits garantis. Le prix pour l’indépendance, choisi par Potter, est le manque d’assurance, le risque avec de vagues perspectives, la nécessité d’être Shiva multi-bras sur le plateau, d’être responsable de tout vous-même, de rechercher des personnes partageant les mêmes idées.
L’un d’entre eux s’est avéré être le célèbre opérateur russe Alexei Borodin. Son portefeuille comprend «Go and See», «Farewell», «La femme d’un ingénieur en kérosène», «Musulman», une coopération avec Kira Muratova, Sergey Bodrov et Renny Bartlett. "Party" - la quatrième image, tournée en tandem avec Potter. L’un d’eux - un court métrage pour l’almanach "Paris, je t’aime" - n’a pas été inclus dans la version finale de la photo. Borodin est l’un des rares opérateurs nationaux connus en Occident à recevoir régulièrement des invitations à travailler dans ce pays. Sa rencontre avec Potter eut lieu au début des années 90, après la chute du rideau de fer, lorsque le monde découvrit une nouvelle Russie. Le premier film conjoint était Orlando avec Tilda Swinton dans le rôle principal. Orlando a été une véritable percée pour les deux. Selon Potter, Borodin possède des qualités inestimables: un professionnalisme de haut niveau, une imagination riche, la capacité de créer une image visuelle unique. Le choix de l’esthétique en noir et blanc pour le nouveau film était également impeccable.
La première mondiale du «Party» a eu lieu dans le cadre du programme principal du Festival du film de Berlin. Le casting de stars, un complot imprévisible dans lequel la soirée cesse soudain d’être languissante, l’ironie grotesque et cinglante - un argument en faveur du visionnage du film.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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