« Une demi-journée » de Naguib Mahfouz Automatique traduire
«Une demi-journée» est une nouvelle de l’auteur égyptien Naguib Mahfouz, lauréat du prix Nobel. Publié dans le cadre de la collection de 1991 de Mahfouz «Le temps et le lieu et autres histoires», «Une demi-journée» s’écarte du réalisme social pour lequel Mahfouz est devenu célèbre, employant à la place des éléments d’allégorie et de surréalisme. Toutes les citations de ce guide font référence à la traduction anglaise de l’ouvrage par Denys Johnson-Davies.
L’histoire s’ouvre dans une ville sans nom tôt le matin. Le narrateur, un jeune garçon, a du mal à suivre son père, qui l’accompagne à l’école pour la première fois. Bien que son père soit joyeux et rassurant, remarquant que la journée représente une étape importante dans la vie, le narrateur est nerveux ; il se sent puni : «Je ne croyais pas qu’il y ait vraiment intérêt à m’arracher à l’intimité de mon foyer» (Paragraphe 5). Son anxiété ne fait qu’augmenter lorsqu’il arrive à l’école, où lui et les autres enfants sont divisés en groupes et accueillis par une femme qui leur conseille d’accepter l’école comme leur nouvelle maison. Le narrateur et les autres étudiants le font et se retrouvent à profiter de leur nouvel environnement; ils assistent à des cours, jouent à des jeux, font la sieste et se font de nouveaux amis. Au fur et à mesure que le temps passe, cependant, ils se rendent compte que leur nouvelle vie implique aussi beaucoup de travail acharné et de frustration : «Et tandis que la dame souriait parfois, elle se renfrognait souvent et grondait» (Paragraphe 14). À l’approche du coucher du soleil, le narrateur sort de l’école en s’attendant à trouver son père qui l’attend comme il l’a promis. Lorsque son père ne se présente pas, il commence à rentrer seul à la maison et rencontre un homme d’âge moyen qui le salue familièrement. Ils échangent des plaisanteries et le narrateur continue de marcher, pour constater que la ville a radicalement changé depuis le matin; il est maintenant entouré non pas de jardins, mais de foules de gens, de voitures et de grands immeubles. De plus en plus alarmé et plus désespéré que jamais de rentrer chez lui, le narrateur tente de traverser une rue passante lorsqu’un jeune garçon s’approche pour l’aider en l’appelant «grand-père».
- «Zaabalawi» by Naguib Mahfouz
- «How Far She Went» by Mary Hood
- «Hay Fever» by Noël Coward
- «A Pale View of Hills» by Kazuo Ishiguro
- «Holding Up The Universe» by Jennifer Niven
- «Harvest of Empire: A History of Latinos in America» by Juan Gonzalez
- «Hillbilly Elegy: A Memoir of a Family and Culture» by J. D. Vance
- «Frederick Douglass: Prophet of Freedom» by David W. Blight
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