"Le siège Catbird" de James Thurber Automatique traduire
Au début de l’histoire, un homme du nom d’Erwin Martin, qui ne fume jamais, achète des cigarettes. M. Martin travaille pour une société appelée F & S, où il est responsable du service de classement. M. Martin envisage et planifie déjà le meurtre d’un collègue depuis plus d’une semaine. Deux ans auparavant, une femme nommée Ulgine Barrows a rejoint F & S, où elle a rapidement proposé des changements au département, des changements que M. Martin trouve intolérables.
Plus tard, alors qu’il est assis dans son appartement en train de boire un verre de lait, M. Martin imagine les offenses de Mme Barrows contre lui et le ministère comme s’il était un procureur au tribunal : il la déclare coupable d’inefficacité, de comportement irritant et de destruction de son département. Gardant sa posture imaginaire de conseiller juridique, il passe en revue les preuves. Il se souvient avec amertume de l’ascension professionnelle (et, selon lui, injustifiée) de Mme Barrows, une histoire qu’il a glanée à travers les potins du bureau : Mme Barrows a rencontré leur patron, M. Fitweiler, lors d’une fête et a utilisé une «magie monstrueuse» pour le charmer.. Elle a été embauchée une semaine plus tard. En plus de l’insulte de l’usurpation, Mme Barrows a d’autres qualités que M. Martin trouve insupportables ; elle est donnée à des tournures de phrases métaphoriques inhabituelles et à des dictons folkloriques comme, "Êtes-vous assis dans le siège catbird?" qu’elle a volé à un présentateur de baseball, par exemple. Elle est bruyante, et M. Martin décrit souvent sa façon de parler comme «braillante». Finalement, après deux ans d’épuisement de sa patience, Mme Barrows a commis le méfait impardonnable de demander à M. Martin si tous ses nombreux classeurs étaient nécessaires. Tranquillement indigné, M. Martin a décidé que son collègue devait être effacé, comme on pourrait effacer une erreur d’écriture. Maintenant, alors qu’il est assis dans son appartement, un verre de lait toujours à la main, sa rêverie d’audience se termine : Il demande la peine de mort pour l’accusé. Le lendemain, M. Martin se rend à l’appartement de Mme Barrows pour lui rendre une visite surprise. Pendant qu’elle leur prépare des boissons, il fouille le salon à la recherche d’armes potentielles du crime, en vain. M. Martin forme un nouveau plan et se glisse immédiatement dans un faux personnage; quand Mme Barrows lui offre la boisson, il la prend, même s’il ne boit jamais rien de plus fort que du lait ou du soda au gingembre (et son indulgence surprend Mme Barrows, qui connaît sa réputation et son abstinence coutumière). Il porte un toast à leur patron, M. Fitweiler, puis l’insulte. Mme Barrows se hérisse du manque de respect. Il continue de calomnier son patron et laisse entendre qu’il va l’assassiner. Alarmée, Mme Barrows lui demande s’il se drogue. Intensifiant sa mascarade, M. Martin dit qu’il consomme de l’héroïne et qu’il sera fortement sous influence lorsqu’il assassinera M. Fitweiler. Mme Barrows lui crie de partir, et il rentre chez lui, mais seulement après s’être retourné vers elle pour lui dire d’un air moqueur «Je suis assis sur le siège de l’oiseau-chat» et avoir tiré la langue. Quand il rentre dans son appartement, il savoure non pas un mais deux verres de lait d’autosatisfaction. Le lendemain, Mme Barrows le signale à Fitweiler, qui convoque M. Martin à son bureau. Il demande s’il est vrai que M. Martin n’a jamais bu ni fumé. Il dit ensuite que Mme Barrows a eu une « grave dépression » impliquant un « complexe de persécution » avec des hallucinations et a accusé M. Martin de se comporter de manière inappropriée. Fitweiler lui a recommandé de consulter un médecin et dit maintenant à M. Martin que le temps de Mme Barrows dans l’entreprise est terminé. M. Martin se dit «affreusement désolé» d’entendre cela. Mme Barrows fait irruption et demande à savoir si M. Martin nie ses accusations. Elle l’accuse de l’avoir piégé. Deux hommes nommés Stockton et Fishbein la voient sortir. Fitweiler congédie M. Martin et lui demande d’oublier l’incident. M. Martin dit qu’il le fera et retourne dans son département. Il a tué la carrière de Mme Barrows chez R & S, même s’il lui a épargné la vie.
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