Puvis de Chavannes: Peintre Murale Française, Artiste Décoratif Automatique traduire
Biographie
Une figure importante en français peinture murale de la seconde moitié du 19ème siècle, il a été grandement influencé par le Symbolisme mouvement et par les universitaires Peinture néoclassique de Jacques-Louis David (1748-1825), JADIngres (1780-1867) et Theodore Chasseriau (1819-56); en effet, à certains égards, son travail est en grande partie une suite aux peintures murales peintes par Chasseriau. Malgré son respect pour art académique et aussi le Salon de Paris, il est resté aussi éloigné des écoles officielles que des petits groupes marginaux. Sa principale contribution à Peinture française C’est l’application de nouvelles idées aux médias traditionnels et aux thèmes établis, synthèse qu’il réalise dans les peintures qu’il expose aux Salons de Paris: Guerre et Paix au Salon 1861 et Travail et repos en 1863; œuvres qui ont immédiatement intéressé les critiques. Les deux derniers ont été acquis par le musée d’Amiens qui l’a immédiatement chargé de faire une série de fresques, technique dans laquelle il excellait, devenant finalement le plus grand muraliste de France. Au cours de sa carrière, il a décoré de nombreux bâtiments publics à Paris (par exemple, l’hôtel de ville, le Panthéon et la Sorbonne) et a été admiré par les avant-gardes. artistes modernes comme Paul Gauguin (1848-1903), Georges Seurat (1859-1891) et Toulouse-Lautrec (1864-1901) ainsi que des peintres traditionnels. Sa réputation a quelque peu décliné au cours du XXe siècle et ses représentations idéalisées de l’Antiquité ou des représentations allégoriques de thèmes abstraits apparaissent désormais comme une bagatelle anémique.
Jeunesse
Né à Lyon, Pierre-Cécile Puvis de Chavannes, fils d’un ingénieur des mines, il venait d’une vieille famille aristocratique de Bourgogne. Il a étudié au lycée lyonnais puis au lycée Henri IV à Paris, après quoi il s’est inscrit à l’ Ecole Polytechnique afin de suivre son père dans la profession d’ingénieur. Cependant, la maladie l’interrompt, et après un voyage en Italie qui lui ouvre de nouveaux horizons et lui donne un nouvel angle de vue sur la vie, il décide de prendre art son métier. En conséquence, et est allé étudier sous les peintres d’histoire française Eugene Delacroix (1798-1863) et Thomas Couture (1815-1879), et Henri Scheffer, le frère cadet moins connu d’Ary Scheffer (1795-1858). Ce voyage a été suivi d’un autre voyage en Italie, d’une durée supérieure à un an, qui a contribué à asseoir sa conviction sur la primauté du art décoratif, telle qu’elle est exprimée dans la peinture décorative à grande échelle – un type de créativité qui est devenu le travail de sa vie. De nature conservatrice, plus ancré dans la Renaissance que dans le modernisme, Puvis de Chavannes a poursuivi sa carrière d’artiste dans les limites du classicisme académique et des préceptes du Salon officiel. Et bien qu’il ait fallu de nombreuses années pour s’imposer à ses contemporains, il les a progressivement acceptés, notamment pour ses œuvres monumentales. Dès les années 1880, il est une figure bien établie des Salons de Paris et, dans les années 1890, il est perçu comme le plus grand maître de son genre.
Premières peintures
En tant que peintre, Puvis de Chavannes admirait la technique et la vision de Delacroix, mais pas sa passion indisciplinée. S’il y avait un groupe qui attirait sa sympathie, c’était le École de Barbizon de peinture de paysage, en particulier des œuvres de Camille Corot (1796-1875). Il était également particulièrement attiré par les peintures décoratives de Theodore Chasseriau, dont le style combinait la composition linéaire classique de JADIngres et la couleur de Delacroix, et qui allait servir de modèle à plusieurs de ses œuvres ultérieures.
La première exposition de Puvis était un Pieta montré dès 1852, mais par la suite, il fut repoussé pendant plusieurs années: ses nouvelles images, assez surprenantes, incluant Salomé et Julia, acquirent une certaine notoriété en raison de leur absence d’ombres et de qualités byzantines, sans toutefois impressionner le jury. Une œuvre plus acceptable – Retour de la chasse (1858, musée de Marseille), remarquable par son mouvement héroïque – est présentée au salon de 1859 et témoigne de son talent décoratif indéniable.
Peintures murales au musée d’Amiens
La commande de peindre les fresques autour de l’escalier du musée d’Amiens a été l’occasion pour Puvis de Chavannes de faire la démonstration de son vrai métier de peinture monumentale. En 1861, il produit Guerre et paix ; en 1863, travail et repos ; Ave Picardia Nutrix est apparu en 1865: il est à présent considéré par beaucoup de critiques comme son œuvre la plus raffinée, bien que sa nouveauté et sa simplicité aient suscité une vive controverse à l’époque. Encore plus de critiques visaient sa prochaine série de peintures murales, Autumn, Sleep, Harvest (Salon 1870) et Poor Sinner (Salon 1875). Les critiques de salon l’ont accusé de ne pas savoir dessiner ou peindre, sans vraiment comprendre la difficulté de comparer des peintures murales à grande échelle avec des peintures monumentales à chevalet. En conséquence, Puvis de Chavannes est resté incompris et sous-estimé pendant une dizaine d’années.
Percée: Enfance de Sainte Geneviève – Le Panthéon
Puis, en 1876, il fut chargé par le marquis de Cheunevideres de produire une série de peintures illustrant "l’Enfance de sainte Geneviève" (1876-8) dans l’église de Sainte-Geneviève (aujourd’hui le Panthéon). C’est la première fois que son art mural est exposé dans un environnement naturel (à l’écart du cadre artificiel du salon) et il est immédiatement reconnu, par la critique et par les artistes, comme l’une des plus grandes œuvres de décoration de France.
D’autres chefs-d’œuvre de l’art publique suivi, et chacun a ajouté à sa réputation croissante. Ils comprenaient: Ludus pro patria (1880-1827), peint pour le musée d’Amiens; une variété de peintures murales (1883-84) pour le palais Saint-Pierre à Paris; Sacred Wood Chers Arts et Muses (1884), Antique Vision et Inspiration Chrétienne et autres, pour le Musée des Beaux-Arts de Lyon; Inter Artes et Naturam (c. 1888-90) pour le musée de Rouen; Summer, Winter et Victor Hugo présentant sa lyre à Paris, produit pour l’hôtel de ville (1893-1875); ainsi que Sainte Geneviève Réapprovisionnant les Parisiens (1897) et Sainte Geneviève Surveillant Paris (1898), pour le Panthéon.
Au cours de cette période, sa vie professionnelle s’est installée dans une routine constante. Chaque jour, il faisait 60 minutes à pied de son domicile de Montmartre à son studio de Neuilly. Puis il travailla sans interruption pendant 9 à 10 heures sur son La peinture, après quoi il a fait une autre marche rapide chez lui. Vers 19 heures, il mangea son seul repas par jour avant de consacrer le reste de la soirée à la lecture, à la musique et à la socialisation avec des amis.
Haute estime
Au cours de cette dernière période de sa vie, il était si estimé qu’il était commandé par le gouvernement chaque fois qu’un travail décoratif particulièrement solennel était requis, comme par exemple la décoration du grandiose hémicycle de la Sorbonne (1887-9), pour laquelle il peint Science, Art et Lettres. Il a même été chassé par la ville de Boston pour décorer l’escalier monumental de sa bibliothèque publique (1895-1898).
Outre ces compositions murales, son peinture mythologique est également d’intérêt. Ces images qui sont presque toujours prises dans des paysages mystérieux, avec brillant Couleur et une composition quelque peu académique et froide, mais libre et calme dans le développement du sujet. L’ œuvre énigmatique The Poor Fisherman (1881, Musée d’Orsay, Paris) et La rêveuse Femme sur la plage (1887, Hermitage, Saint-Pétersbourg) en sont un exemple.
En 1891, Puvis de Chavannes est élu à l’unanimité président de la Société nationale des beaux-arts. Devenu le salon dominant de la journée, il organisa des expositions de art moderne. Il a également été nommé commandant de la Légion d’honneur. Marié à la princesse Marie Cantacuzene qu’il avait rencontrée pour la première fois dans l’atelier de Chasseriau, il avait également une liaison avec Suzanne Valadon, la mère du peintre de genre urbain français Maurice Utrillo (1883-1955), qui peut être son fils. Puvis de Chavannes décède à Paris en octobre 1898, à l’âge de 73 ans.
Réputation et héritage
Puvis de Chavannes a eu une influence significative sur les jeunes artistes de son époque, notamment les symbolistes, les néo-impressionnistes, les peintres décorateurs comme les cloisonnistes. Emile Bernard et Louis Anquetin, même Picasso. Il était conservateur dans son approche générale de l’art, mais libéral dans son attitude envers art d’avant-garde, en particulier siégeant sur les jurys du Salon. En effet, il faisait partie d’une poignée de peintres académiques dont le travail était respecté par les artistes traditionnels et radicaux. Dans son propre travail, son style roman surmonte ses sujets désuets et évite le réalisme photographique desséché qui était si typique de la peinture académique à la fin du siècle. Un de meilleurs peintres d’histoire dans son domaine, ses formes simplifiées, le respect de la planéité de la surface de l’image et l’utilisation de couleurs non naturalistes pour exprimer l’atmosphère du tableau confèrent à son travail un aspect moderne, presque abstrait.
On peut voir des peintures de Puvis de Chavannes dans des églises, des bâtiments publics et plusieurs meilleurs musées d’art En France.
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