L’image d’Alexandre Nevski dans l’histoire et la culture russes Automatique traduire

Malgré la haute distinction russe - l’ordre d’Alexandre Nevski, établi par Pierre Ier, le panthéon de la gloire russe de son nom - l’Alexandre Nevski Lavra à Saint-Pétersbourg, beaucoup ne connaissent le Grand-Duc que par le film de Sergei Mikhailovich Eisenstein. Et extérieurement, ils représentent Alexander alors que son acteur Nikolai Konstantinovich Cherkasov a joué. Alexander Nevsky était jeune, beau, bien construit, avec une voix sonore.

Le film "Alexander Nevsky" a été tourné à la veille de la guerre et a vraiment remonté le moral des soldats. Ils ont regardé leurs ancêtres battre les Allemands et eux-mêmes ne battre les ennemis pas plus mal que les Novgorodiens. Qui n’a pas rappelé le dicton biblique, reformulé et mis dans la bouche du prince russe: «Et quiconque entrera en nous avec une épée mourra de l’épée!» Cela en vaut la peine, et la terre russe restera! ”

Tant de films sur l’histoire de la Russie, dont beaucoup ont été tournés sous Staline, ne sont pas apparus dans toutes les époques suivantes, sans parler du temps présent, anti-patriotique. C’est comme ça. Oui, il suffit de ne pas redessiner l’histoire à sa discrétion. Le prince Alexandre s’est avéré être un grognement: c’est ainsi qu’il a donné aux dents les Suédois, les Allemands, pour qu’ils ne restent plus sur le sol russe! Et pourquoi vous êtes-vous mêlé de vos affaires? Les relations du grand-duc, celle de Byzance, celle de la Horde, restèrent dans l’ombre, comme si c’était une honte, qu’il ne fallait pas dire. Et à cause de cela, des rumeurs ont commencé à circuler selon lesquelles le prince n’est pas aussi bon que le film le dit à son sujet. Il était subordonné aux Tatars et exécutait lui-même ses sujets avec une cruauté sans précédent, à laquelle les khans n’avaient jamais rêvé.

Les mensonges ou demi-vérités sont vraiment un terrain fertile pour la création des rumeurs les plus sombres et des potins sales. Et il devient d’autant plus difficile de parler de la véritable grandeur d’Alexandre Yaroslavich, sous-estimé et mal compris par ses contemporains, ni par ce qui est particulièrement amer, par ses lointains descendants. Vous devez savoir qu’au début, le scénario était différent, puis tout ce qui était "superflu" en avait été retiré. Ni la terrible fin de la vie d’Alexandre Nevsky, ni d’autres événements qui ne seraient pas liés à son exploit glorieux et porteraient atteinte à sa signification ne sont visibles dans le film.

C’est ainsi que naît un mensonge, et de ce fait l’ignorance et le mépris de l’histoire autochtone grandissent, l’agitation devient son contraire, devient une contre-propagande. Les gens commencent à se disputer: "Alors, pas tant Alexandre et le héros, si quelque chose a été supplié par les Mongols d’être fauché devant eux!" Et s’ils découvrent que ni le joug ni la Horde n’ont disparu après la bataille de Kulikovo, ils agiteront leur main à l’histoire russe - ils disent, tous les mensonges, en fait, nous n’avions rien d’héroïque, ici en Occident - il y a un autre problème!

En réalité, l’histoire russe réfute complètement l’opinion critique du célèbre philosophe Pyotr Yakovlevich Chaadayev et le sombre tableau qu’il a peint.

Natalya Abdullaeva