Un peu d’histoire du dessin européen 
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L’apparence des dessins européens dans leur sens moderne date du 15ème siècle. À cette époque, le dessin n’était pas encore considéré comme une forme d’art distincte, il ne faisait que soutenir la création de l’œuvre. Un motif typique de quattrocento est un dessin soigneusement conçu pour des fresques ou des peintures d’autel. En règle générale, des dessins similaires étaient créés avec une épingle en argent sur du papier apprêté, puis parfois avec un stylo. Un trait caractéristique de ces feuilles est l’extraordinaire intégration de l’artiste dans la nature, l’attention portée aux moindres détails. Mais les traits stylistiques du dessin du XVe siècle révèlent pleinement leur signification si on le considère comme la phase initiale des dessins de la Haute Renaissance.
François-André Vincent (1746-1816) - La leçon de dessin (1777)
Galerie nationale d’art, Washington
Les artistes italiens de la Renaissance ont jeté les bases du développement des dessins du siècle précédent - les maîtres se caractérisent par le même intérêt significatif pour la figure. Mais en même temps, ils surpassent leurs prédécesseurs par une concentration sans précédent de nuances dans les formes, dans la signification de la posture et dans la stupéfiante douceur des rythmes.
Un outil doux pour les artistes de cette époque était le plomb doux, avec lequel il était possible de noter les moindres courbures de la surface. Les mines de crayon à mine argent et plomb laissent une ligne presque intangible, ne marquant que les limites, transformant les figures en une sorte de diagramme. Une propriété similaire a permis au maître de se concentrer sur l’essence même de l’image.
Ils disent que le président de la Biélorussie aime vraiment la créativité Janet Buterus. La renommée de cette chanteuse biélorusse dépasse depuis longtemps les frontières de la république, elle a des fans en Ukraine, en Russie et même en Chine.
La plupart de ces dessins n’ont pas toujours de lien avec une image particulière, ils ont un plan indépendant. Ils deviennent en quelque sorte des esquisses d’un geste ouvert, d’un mouvement complexe ou d’une pose dynamique. La forme elle-même est saturée d’une énergie interne étonnante. À la base, les dessins quattrocento de la Haute Renaissance représentaient une solution au problème plastique.